Cet article est issu du journal Les Indispensables de Sciences et Avenir n°215 daté octobre/ décembre 2023.
Mimer au mieux un tissu humain ou un organe : c’est le défi de la bioimpression 3D, grâce à laquelle les chercheurs peuvent tester l’effet d’un médicament ou d’une radiothérapie sur des organoïdes, modèles simplifiés du foie, de la peau, and many others. Pour former ce tissu, un laser détache, une à une, des nano-gouttelettes de cellules en tradition.
Une circulation sanguine nécessaire
Mais pour pallier le déficit d’organes humains et fabriquer des buildings transplantables, il faudrait que celles-ci soient irriguées par une circulation sanguine qui les nourrisse et les oxygène. Des appareils capables d’initier cette circulation sont en cours de take a look at. Une fois imprimé, le tissu est connecté à l’un d’eux, qui établit un flux continu dans les vaisseaux. À terme, cette technologie permettrait la formation du réseau de capillaires, les vaisseaux les plus fins, à l’intérieur de l’organe ou du tissu, permettant leur transplantation.